Souvent défini par sa fonction, nous, nous voyons plutôt l’espace comme vecteur d’émotions, de sensations et d’expériences.

Pour nous, c’est un domaine qui ouvre à l’introspection. Nous aimons le voir comme une expérience à la fois physique par notre manière de s’y mouvoir mais aussi comme une expérience plus profonde : Comment et Pourquoi l’espace influe sur l’humeur ? Comment est-il vecteur du sensible ? Dans quelle mesure l’espace peut-il accentuer, porter un propos ? 

Nous aimons ce domaine parce qu’il est à la fois omniprésent et tellement effacé derrière sa fonction. Ce qu’il dégage, ce qu’il permet et ce qu’il dévoile au plus profond de nous est presque imperceptible, comme une sorte d’humilité au service des besoins évidemment mais aussi au service du sensible.

Aujourd’hui, nous vivons et travaillons à travers de nouveaux espaces qui ne se limitent plus au physique.  Les interfaces numériques sont une nouvelle branche de l’espace, ils répondent également à des besoins et sont tout autant vecteur de sens et de propos.

L’espace évolue à la mesure du monde, alors travaillons ensemble le sensible à travers ce domaine de l’imperceptible sur le plan physique comme sur le plan numérique.